Accueillir les défis pour accélérer l’avancement de carrière
À la recherche de possibilités d’emploi?
Cependant, en 2009, lorsque GHD était à la recherche d’une ou d’un chargé de projets pour le projet Initiative des forces terrestres renforcées (Enhanced Land Force initiative) du ministère de la Défense australien, Rebecca y a vu une occasion d’essayer quelque chose de différent.
« Lorsque j’ai commencé mon emploi, je voulais faire des tâches très techniques en génie des structures. Je faisais beaucoup de conception de structures et de gestion de conception multidisciplinaire, en gérant divers services d’ingénierie pour différents projets de construction. Mais lorsque cette occasion s’est présentée, j’y ai vu un excellent moyen d’acquérir une expérience pratique précieuse. »
Rebecca a ensuite passé deux ans à la caserne Lavarack en tant que chargée de projets et administratrice de contrats, où elle a travaillé sur la construction, la gestion des parties prenantes, les inspections et la prise en charge du site. Sous les conseils de son mentor de GHD, Rebecca a pu mettre à profit ses connaissances techniques dans le cadre de ses fonctions en gestion de projets.
« Le fait d’avoir une formation technique est un élément précieux pour être une chargée de projets efficace, car cela permet de mieux comprendre pourquoi les choses se déroulent d’une certaine manière. Cela m’aide à accompagner nos clients dans leurs démarches pour leur permettre de prendre des décisions plus éclairées et adaptées à leur projet. »
Après un congé de maternité de 15 mois, Rebecca est revenue à temps partiel et continue aujourd’hui à occuper principalement des fonctions de gestion de projets et de responsable de la conception.
« J’ai choisi cette voie plutôt que de retourner au génie des structures, parce que je trouvais la gestion de projets un peu plus flexible en travaillant à temps partiel. Les livrables peuvent souvent être divisés en tâches plus petites et plus faciles à gérer. »
En se remémorant ses expériences passées, Rebecca affirme que les projets les plus difficiles ont constitué certains des plus grands moments de sa carrière.
« Sur le moment, on ne pense pas que ce sont des moments forts, mais avec le recul, on se rend compte que les projets les plus difficiles sont ceux qui nous ont le plus appris. Ils permettent d’accélérer l’avancement de notre carrière. »
Malgré les défis, Rebecca s’est toujours sentie soutenue par l’équipe de GHD.
« Pouvoir travailler sur des projets de défense en Australie et à l’étranger m’a permis de mieux comprendre les contraintes liées à l’emplacement géographique, mais aussi de découvrir différentes régions du pays. C’est un travail passionnant et diversifié. »
« Au cours des deux ans passés sur le site de Lavarack, nous avons dû faire face à une panne d’électricité causée par un entrepreneur sur l’ensemble de la base, à des problèmes de contamination du site et à des défis avec la gestion des parties prenantes. Mais ce qui est formidable avec GHD, c’est qu’il y a toujours quelqu’un dans l’entreprise à qui demander conseil, quel que soit le problème à résoudre. »
Le meilleur conseil de Rebecca en matière de carrière est de maintenir un dialogue ouvert, non seulement avec votre superviseur ou superviseure, mais aussi avec les personnes de votre réseau et au-delà.
« La communication est la clé. Posez des questions, parlez aux gens, dites oui à autant d’occasions que possible, même si vous avez des hésitations, parce qu’elles peuvent vous mener à des endroits extraordinaires. »
Depuis qu’elle est chez GHD, Rebecca a travaillé sur des projets pour le commandement des systèmes d’ingénierie de la marine américaine (Naval Facilities Engineering Systems Command, ou NAVFAC), sur des projets en Papouasie-Nouvelle-Guinée et au Timor-Leste pour la division de la politique internationale du ministère de la Défense australien, ainsi que sur des projets de la Défense australienne à Townsville, où elle est actuellement basée.